Un développeur consomme régulièrement des APIs. Cette donnée est rarement efficiente par rapport à sa représentation pour répondre à des problématiques d’expérience utilisateur. Je vous propose donc de mapper votre donnée avec la librairie Morphism pour se placer entre la donnée brute et une donnée ‘traitée’
Il est très rare que des projets WordPress débutent de manière similaire. Très souvent, on capitalise des connaissances, des bonnes pratiques et autres afin d’espérer faire mieux sur le projet suivant. Seulement, WordPress laisse énormément de libertés. Cela ne nous permet pas de contrôler notre dette technique convenablement ni même notre qualité logicielle. Malheureusement, le code est régulièrement mis de côté pour tenter de pallier des contraintes de temps et d’argent tout en tentant l’excuse du pragmatisme. Et si une approche orientée objet avec les méthodologies adéquates pouvaient résoudre une bonne partie de ces problèmes ?
Réconciliez vous avec la création d’emails HTML / CSS grâce à MJML, un véritable chef d’oeuvre pour les concevoir.
Le Big Data, littéralement de « grosses données » est un phénomène des années 2000. Le terme serait apparue en 1997 et depuis ces dernières années, on le retrouve à toutes les sauces. Seulement, que se cache-t-il derrière ce mot ? Pourquoi certains s’en inquiètent quand d’autres y voient une opportunité ? Comment notre « Web 2.0 » en est-il la cause ? Tant de questions qui se retrouvent à passer sous le tapis en y répondant simplement par « beaucoup de données à traiter ». Alors plutôt que d’entretenir un mythe qui semble inaccessible, je vous propose de revenir à la réalité sur cette notion en la vulgarisant pour se demander si, finalement, n’est elle pas plus abordable qu’on ne l’imagine ? Pour cela, reprenons notre Histoire depuis le début, il y a de ça plus de 2 millions d’années…